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Séminaire « Ethnocritique de la littérature » (EHESS, 2007-2008)

Séminaire
La première partie du séminaire a été centrée cette année sur l’ethnocritique des incipit, lieux stratégiques du texte. Le corpus choisi a permis de travailler tout à tour sur l’onomastique littéraire (Boule de Suif), sur le champ littéraire et ses médiations éditoriales (F. Villon), enfin sur l’entrée dans le récit comme mise en abyme d’un rite de passage (Madame Bovary).

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Séminaire « Ethnocritique de la littérature » (EHESS, 2004-2005)

Séminaire
Les premières séances du séminaire ont été consacrées à la mise en place théorique d’une ethnocritique de la littérature dans le champ plus large des relations complexes qui lient littérature et sciences sociales. Dans le vaste mouvement historique et épistémologique de relecture des biens symboliques qui caractérise l’évolution des sciences humaines (histoire du quotidien et micro-histoire, sociologie des pratiques culturelles et ethnologie des sociétés du proche et du présent, etc.)

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Séminaire « Ethnocritique de la littérature » (EHESS, 2003-2004)

Séminaire
La lecture du « Pourceau gagné » (Nicolas de Troyes, Nouvelles, 1537) a permis de préciser les phases constitutives de l’ethnocritique (ethnographie du document, ethnologie du discours, ethnocritique du symbolique, auto-ethnologie). Ainsi, la référence à une ethnographie de la tuée du cochon conjuguée à une ethnologie du rituel du partage festif (et de ses dérèglements), conduit à étudier les langages originaux du cochon (onomatopée porcine, parole littérale du trickster, parodie de la prière perpétuelle, interdiscursivité folklorique, etc.) et à entrer dans l’idiolecte culturel du texte. Le retour auto-ethnologique sur la culture du cochon dans l’imaginaire linguistique de l’auteur et du lecteur ouvre enfin des voies à la compréhension proprement littéraire des phénomènes d’acculturation croisée qu’implique toujours l’interaction entre l’univers du récit et la cosmologie propre de son lectorat.

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